Il y a quatre ans, en pleine campagne électorale, Arnold Schwarzenegger avait été "victime" de son passé quand une interview datant de 1977 et donnée à un magazine de charme avait été exhumée. Ses propos sur ses capacités sexuelles et l'usage de drogue avaient alors eu leur petit effet : "Oui, je consomme de l'herbe et du haschisch mais pas de drogue dure", déclarait-il à l'époque. Sans conséquences...
Effet boomerang. Dans un entretien publié par le magazine GQ, le Terminator de la politique jure qu'il n'a jamais consommé de stupéfiants de sa vie : "La marijuana, ce n'est pas de la drogue. C'est une feuille. Mon coeur fonctionnait à la fonte, croyez-moi."
Moi je trouve qu'il y a du Jean-Claude Vandamme dans sa déclaration !!!!