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| isis$ isis 08/12 :: 13:11
Invité
| | Vielle
C'est pour pouvoir enfin botter les fesses A ces vieillards qui nous ont dit Que nos vingt ans que notre jeunesse Étaient le plus beau temps de la vie C'est pour pouvoir enfin botter le cœur A ceux qui nous volent nos nuits Ces maladroits qui n'ont que leur ardeur Croulants qui n'ont que leur ennui
C'est pour cela jeunes gens Qu'au fond de moi s'éveille Le désir ardent De devenir vieille
C'est pour pouvoir un jour enfin leur dire A celles qui me jugent avec fureur " Pauvres grognasses " c'est pour pouvoir vous dire " Je vous pardonne votre laideur " C'est pour pouvoir leur dire à ces matrones Qui mille fois m'ont condamnée " Comment voulez-vous que l'on vous pardonne Vous qui n'avez même pas péché "
C'est pour cela jeunes gens Qu'au fond de moi s'éveille Le désir ardent De devenir vieille C'est pour pouvoir au jardin de mon cœur Ne soigner que mes souvenirs Vienne le temps où femme peut s'attendrir Et ne plus jalouser les fleurs C'est pour pouvoir enfin chanter l'amour Sur la cithare de la tendresse Et pour qu'enfin on me fasse la cour Pour d'autres causes que mes fesses
C'est pour cela jeunes gens Qu'au fond de moi s'éveille Le désir ardent De devenir vieille
C'est pour pouvoir un jour oser lui dire Que je n'ai bu qu'à sa santé Que quand j'ai ri c'était de le voir rire Que j'étais seule quand j'ai pleuré C'est pour pouvoir enfin oser lui dire Un soir en filant de la laine Qu'en le trompant mais ça oserai-je le dire Je me suis bien trompée moi-même
C'est pour cela jeunes gens Qu'au fond de moi s'éveille Le désir ardent De devenir vieille
Jacques Brel | |
| isis1$2004095 Isis1 09/12 :: 18:45
Newbie (33)
| | A quinze ans
A quinze ans, se peut-il que le coeur saigne ? Se peut-il que ce soit la misère qui règne Dans un coeur de quinze ans ! Se peut-il, à quinze ans que l'on puisse souffrir Souffrir à ce point, las de vivre Envie de mourir Pourquoi cette souffrance ? Pour n'avoir pas choisi le chemin le meilleur ? Pour n'avoir su prendre la route du bonheur ? Pourquoi cette souffrance ? Ne désespérez pas, étouffez votre peine Levez-vous, voyez cette lueur lointaine C'est là qu'est l'avenir. Prenez cette route, elle est longue et dure Mais l'espoir vous aidera Allez, à quinze ans on ne peut refuser Le bonheur vous attend Oh ! Ne dites pas non, pas à quinze ans. J'ai connu comme vous cette souffrance Qui torture l'esprit et le coeur Mais j'ai cru, je crois, je veux croire au bonheur Et à l'espérance Vous n'avez pas le droit de refuser de vivre Vous n'avez pas le droit de mourir, à quinze ans
Pascale
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| machine$ machine 10/12 :: 23:32
Invité
| | Les mauvais coups, les lâchetés Quelle importance Laisse-moi te dire Laisse-moi te dire et te redire ce que tu sais Ce qui détruit le monde c'est : L'indifférence
Elle a rompu et corrompu Même l'enfance Un homme marche Un homme marche, tombe, crève dans la rue Eh bien personne ne l'a vu L'indifférence
L'indifférence Elle te tue à petits coups L'indifférence Tu es l'agneau, elle est le loup L'indifférence Un peu de haine, un peu d'amour Mais quelque chose L'indifférence Chez toi tu n'es qu'un inconnu L'indifférence Tes enfants ne te parlent plus L'indifférence Tes vieux n'écoutent même plus Quand tu leur causes
Vous vous aimez et vous avez Un lit qui danse Mais elle guette Elle vous guette et joue au chat à la souris Mon jour viendra qu'elle se dit L'indifférence
L'indifférence Elle te tue à petits coups L'indifférence Tu es l'agneau, elle est le loup L'indifférence Un peu de haine, un peu d'amour Mais quelque chose
L'indifférence Tu es cocu et tu t'en fous L'indifférence Elle fait ses petits dans la boue L'indifférence Y a plus de haine, y a plus d'amour Y a plus grand-chose
L'indifférence Avant qu'on en soit tous crevés D'indifférence Je voudrai la voir crucifier L'indifférence Qu'elle serait belle écartelée L'indifférence | |
| catamiaou$2004268 Catamiaou 11/12 :: 11:26
Inukshuk isn't it? Maître du flood (1338)
| | Un beau texte...En écho je veux vous faire partager ces lignes de J.Beaucarne qui m'émeuvent aux larmes ..........................................................................................
Amis bien aimés,
Ma Loulou est partie pour le pays de l'envers du décor, un homme lui a donné neuf coups de poignard dans sa peau douce . ... C'est la société qui est malade, il nous faut la remettre d'aplomb et d'équerre par l'amour et l'amitié et la persuasion.
C'est l'histoire de mon petit amour à moi arrêté sur le seuil de ses 33 ans. Ne perdons pas courage, ni vous, ni moi. Je vais continuer ma vie et mes voyages avec ce poids à porter en plus et mes deux chéris qui lui ressemblent.
Sans vous commander, je vous demande d'aimer plus que jamais ceux qui vous sont proches ; le monde est une triste boutique, les coeurs purs doivent se mettre ensemble pour l'embellir,
Il faut reboiser l'âme humaine.
Je resterai sur le pont, je resterai un jardinier, je cultiverai mes plantes de langage. A travers mes dires, vous retrouverez ma bien aimée ; il n'est de vrai que l'amitié et l'amour.
Je suis maintenant très loin au fond du panier des tristesses.
On doit manger, chacun, dit-on un sac de charbon pour aller au paradis, ah comme j'aimerais qu'il y ait un paradis, comme ce serait doux les retrouvailles. En attendant, à vous autres, mes amis d'ici-bas, face à ce qui m'arrive, je prends la liberté, moi qui ne suis qu'un histrion, qu'un batteur de planches, qu'un comédien qui fait du rêve avec du vent, je prends la liberté de vous écrire pour vous dire à quoi je pense aujourd'hui :
Je pense de toute mes forces qu'il faut aimer à tort et à travers...
Je pense de toute mes forces qu'il faut aimer à tort et à travers.
Julos Beaucarne, texte écrit dans la nuit du 2 au 3 février 1975, après l'assassinat de sa femme.
| | | Au Zenith Du Zen A...Omh ! |
| isis1$2004095 Isis1 11/12 :: 17:55
Newbie (33)
| | Julos Beaucarne....................j'aime cet homme, il a une force de vie , d'amour et d'humour incroyable! Quel poète, j'ai eu la chance de le rencontrer et de discuter avec lui , il est vraiment hors du commun et très chaleureux. Ce texte est particulièrement touchant et émouvant.
Pour ceux qui l'apprécient http://www.julos.be | |
| kinamoon$2004051 Kinamoon 11/12 :: 18:53
Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leur rêves Arrivante (2)
| | Super le texte Catamiaou et surtout très touchant
Si j'avais le pourvoir Je me ferais un devoir d'arrêter le temps et vivre les meilleurs moments Pour qu'ils durent toujours Pour qu'ils reviennent chaque jours Mais la vie c'est tout autrement Impossible d'arrêter le temps Arrêter les heures les minutes qui défilent et qui emportent nos joies nos peines Je me sens tellement inutile dans cette vie fragile Je voudrais la jeunesse éternellement La solution serait d'arrêter le temps Ne plus avoir de mauvais souvenirs Mais faudrait oublier l'avenir Si j'avais le pouvoir Je me ferais un devoir d'arrêter le temps pour vous dire simplement de profiter des bonheurs de la vie De vos parents, vos amours, vos amis La vie c'est plein de surprises Et impossible de se défaire de cet emprise La vie elle défile devant vos yeux et on espère la venue de jours plus heureux......
Si je pouvais Je voudrais une vie pleine de bonheurs Sans peines et sans malheurs.......< Pour ça faudrait savoir arrêter le temps quand on est heureux.
| | | La beauté est dans l'oeil de celui qui regarde |
| Deus_wrk$2004002 Deus_wrk 11/12 :: 21:56
Arrivant (14)
| | Regardes les nuages passer Ils ressemblent à des êtres mal-formés, Regardes les flocons tomber On dirait des gouttes de pluies qui vont se marier.
Regardes toi pleurer Tu ressemble à une esseulée, Regardes toi te blesser On dirait que tu veux te tuer.
T'as prison n'est qu'obsession, Ta vie n'est qu'illusion, Casse se miroir Qui te maintient dans le noir.
Regardes autour de toi, Cherches au delà des parois, Fixe ces yeux noirs Qui t'aimerons chaque soir.
Je t'enverrais une aile, Tu seras ma demoiselle Et de ces abîmes Je t'emmenerai au dessus des cimes.
Tu caresseras les nuages ronds, Les flocons t'épouserons, Tu ne seras blessé que d'air pur, Tu n'auras plus besoin d'armure.
Ce n'est qu'une image Mais c'est un rêve Qui j'espère à chaque pages Fait naitre de la sève
Un petit truc en direct sur le trombi de moi même.
Très jolis vos poèmes. Clap clap a l'auteur inconnu
KISSSSSSSS ISIS
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| castorette$2003269 Castorette 11/12 :: 23:14
On a beau avancer, on reculera jamais Membre de base (76)
| | rolala ci boooooo /love
et Isis ben.. voila quoi je suppose tu dois savoi ce que j'en pense | |
| isis1$2004095 Isis1 11/12 :: 23:28
Newbie (33)
| | J'ai fini par trouver le nom de l'auteur inconnu du poème: Emile Nelligan
J'espère que ton beau rêve se réalisera, Deus Bisous à toi
ET, oui Casto
Bisous aussi toi | |
| pascale$ pascale 14/12 :: 23:08
Invité
| | Papa arrête, ou Une affaire de Famille
A l'heure où tout le monde est déjà endormi Je reste immobile sur mon lit Je sais que ce soir, papa va monter pour me dire bonne nuit A sa façon bien à lui. J'ai le coeur qui accélère dès que j'entends les marches grincer Mon souffle me fait défaut, Je garde les yeux fermés Il croira peut être que je dors et ne voudra pas me réveiller La porte s'ouvre, le pas silencieux de mon père se rapproche de moi J'entends son souffle court, les frisons parcourent mes bras J'aimerais tant me lever, pour qu'il me dise juste bonne nuit et qu'il s'en aille retrouver maman, je n'avais pas cet esprit de bataille Et mon courage dès que mon père était dans ma chambre me faisait lui aussi défaut
A croire que tout le monde ne l'entend pas monter les marches du haut Il s'agenouille près de mon petit lit, pose un baiser sur le front Et comme à chaque fois, il fait glisser la couverture le long De ce corps qui semblerait inerte, il suit les lignes de mon corps Avec sa main droite, et il croit toujours que je dors Il a l'air d'aimer ça pour revenir chaque soir après s'être disputé avec Maman Pourtant moi, j'ai horreur de ça, il me fait mal, il a des gestes méchants Je sais que quand c'est terminé, il remonte la couette, m'embrasse Et s'en va, il va retrouver Maman, cette nuit il n'a laissé aucune trace.
Après avoir pleurer pendant de longues minutes Et pourtant chaque soir je lutte Contre des questions qui me minent le moral J'ai toujours connu ça alors pour moi c'est normal. Le matin, en me levant, j'essaie de descendre quand papa est parti Et quand je le vois, il me dit bonjour et me sourit J'aimerai tant tout dire à quelqu'un, J'en ai marre de ce sourire en coin. Je ne veux pas que ma mère se mette en colère Ni contre moi, ni contre mon père C'est trop dur d'en parler, j'ai déjà essayé Mais j'arrive pas à en parler Il me faut du temps, pour trouver le courage de le dénoncer A partir de ce jour-là je serai enfin libérée Mais en attendant cette instant, j'ai envie de crier « Papa arrête, tu me fais souffrir. Laisse moi Vivre. » J'étouffe dans ce silence, Dans tellement de violence. Je ne pourrais jamais avoir le même regard sur toi, que celui que j'avais quand j'étais enfant Quand tu jouais avec moi dans le sable, tu étais quelqu'un de bien, qu'est ce qui te prend ? On semblait si heureux, une famille unie et sans mensonge Alors pourquoi aujourd'hui la vérité nous ronge ? Si je pouvais faire quelque chose pour que tout ça s'arrête Je le ferai sans même relever la tête Papa je te le demande une dernière fois Arrête toi !
La nuit qui suivie la petite fille fût emmenée à l'hôpital Parce que son père aura été trop brutal.
dédié a toutes les femmes qui restent dans le silence. pascale
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| peter_pon$2004341 peter_pon 15/12 :: 09:53
Invité
| | /me reste sans voix devant tant de souffrance....... | |
| isis1$2004095 Isis1 28/12 :: 02:01
Newbie (33)
| | C'était la nuit de Noël, un peu avant minuit, A l'heure où tout est calme, même les souris.
On avait pendu nos bas devant la cheminée, Pour que le Père Noël les trouve dès son arrivée.
Blottis bien au chaud dans leurs petits lits, Les enfants sages s'étaient déjà endormis.
Maman et moi, dans nos chemises de nuit, Venions à peine de souffler la bougie,
Quand au dehors, un bruit de clochettes, Me fit sortir díun coup de sous ma couette.
Filant comme une flèche vers la fenêtre, Je scrutais tout là haut le ciel étoilé.
Au dessus de la neige, la lune étincelante, Illuminait la nuit comme si c'était le jour.
Je n'en crus pas mes yeux quand apparut au loin, Un traîneau et huit rennes pas plus gros que le poing,
Dirigés par un petit personnage enjoué : C'était le Père Noël je le savais.
Ses coursiers volaient comme s'ils avaient des ailes. Et lui chantait, afin de les encourager : " Allez Tornade !, Allez Danseur ! Allez , Furie et Fringuant ! En avant Comète et Cupidon ! Allez Eclair et Tonnerre ! Tout droit vers ce porche, tout droit vers ce mur ! Au galop au galop mes amis ! au triple galop ! "
Pareils aux feuilles mortes, emportées par le vent, Qui montent vers le ciel pour franchir les obstacles , Les coursiers s'envolèrent, jusqu'au dessus de ma tête, Avec le traîneau, les jouets et même le Père Noël.
Peu après j'entendis résonner sur le toit Le piétinement fougueux de leurs petits sabots.
Une fois la fenêtre refermée, je me retournais, Juste quand le Père Noël sortait de la cheminée.
Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet, Etaient un peu salis par la cendre et la suie.
Jeté sur son épaule, un sac plein de jouets, Lui donnait l'air d'un bien curieux marchand.
Il avait des joues roses, des fossettes charmantes, Un nez comme une cerise et des yeux pétillants,
Une petite bouche qui souriait tout le temps, Et une très grande barbe d'un blanc vraiment immaculé.
De sa pipe allumée coincée entre ses dents, Montaient en tourbillons des volutes de fumée.
Il avait le visage épanoui, et son ventre tout rond Sautait quand il riait, comme un petit ballon.
Il était si dodu, si joufflu, cet espiègle lutin, Que je me mis malgré moi à rire derrière ma main.
Mais d'un clin d'oeil et d'un signe de la tête, Il me fit comprendre que je ne risquais rien.
Puis sans dire un mot, car il était pressé, Se hâta de remplir les bas, jusqu'au dernier, Et me salua d'un doigt posé sur l'aile du nez, Avant de disparaître dans la cheminée.
Je l'entendis ensuite siffler son bel équipage.
Ensemble ils s'envolèrent comme une plume au vent.
Avant de disparaître le Père Noël cria : " Joyeux Noël à tous et à tous une bonne nuit "
Clément Moore
JOYEUSES FETES A TOUTES ET TOUS!!!!!!
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| kinamoon$2004051 Kinamoon 28/12 :: 05:18
Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leur rêves Arrivante (2)
| | Je ne sais pas si c’est la neige Qui tombe et recouvre les toits Ou bien les journées qui s’abrègent Qui me donnent si froid sans toi.
J’ai froid aux pieds, j’ai froid au cœur J’ai froid partout quand t’es pas là J’ai froid ici, j’ai froid ailleurs, J’ai froid surtout quand t’es pas là
inconnu .
| | | La beauté est dans l'oeil de celui qui regarde |
| peter_pon$2004341 peter_pon 28/12 » 23:31
Invité
| | Très beau ton poème Kina
ABSENCE
" Je te parle à travers les villes Je te parle à travers les plaines Ma bouche est sur ton oreiller Les deux faces des murs font face A à ma voix qui te reconnaît Je te parle d'éternité O villes souvenirs de villes Villes drapées dans nos désirs Villes précoces et tardives Villes fortes villes intimes Dépouillées de tous leurs maçons De leur penseurs de leurs fantômes ... Campagne règle d'émeraude
Vive vivante survivante Le blé du ciel sur notre terre Nourrit ma voix je rêve et pleure Je ris et rêve entre les flammes Entre les grappes du soleil Et sur mon corps ton corps étend La nappe de son miroir clair. "
Inconnu Tellement touchant, j'hésite pas à le partager | |
| Kinamoon$2004051 Kinamoon 30/12 :: 15:44
Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leur rêves Arrivante (2)
| | Lieu Magique
Il est un lieu magique Où je voudrais t'emmener Un lieu magique Où je pourrais t'aimer.
Tu dis que tu m'aimes Mais peut-être que tu mens Quand le soir je suis amoureuse Je pars au pays des rêves
Alors mon coeur voyage Alors mon coeur est sur un nuage Je me sens comme un ange Et je te demande de rester.
Parce que je ne t'ai pas embrassé Parce que je voudrais t'aimer encore Parce que le temps doit s'arrêter Et que plus rien ne doit bouger
Et toi tu dois déjà me quitter........ | | | La beauté est dans l'oeil de celui qui regarde |
| catamiaou$2004268 Catamiaou 30/12 :: 20:42
Inukshuk isn't it? Maître du flood (1338)
| | Provient du message de Peter_pon | La nappe de son miroir clair. |
Désolés, on a eu beau s'y mettre à deux, pour nous c'est pas clair et nullement émouvant ....... | | | Au Zenith Du Zen A...Omh ! |
| deusy_mania$2004220 Deusy_mania 30/12 :: 20:48
" Les faiblesses des hommes font la force des femmes. "de Voltaire Arrivante (2)
| | lol cata !! ben perso...moi non plus 'comprends pas trop ! une 'tite explication ce serait sympa ... | |
| peter_pon$2004341 peter_pon 30/12 » 21:47
Invité
| | Provient du message de Catamiaou | c'est pas clair et nullement émouvant ...
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ben si t'es pas ému c pas grâve, j'vais pas en faire une maladie ct po pour toi
Et puis pour le tsunami je sais pas si tu as essayé de faire de l'humour mais j'ai pas tout compris : Je ne parlais pas de dons, mais juste d'avoir une petite pensée pour eux nan? Et de plus tu aurais pu éviter de poster la même photo que moi.
Tu sais si le topic t'interesse pas te sent pas obligé d'y répondre
Et pis comme on dit " détruire c facile, mais reconstruire est encore plus dur "... là je ne peut pas te donner le nom de l'auteur ^^ dsl
Sur ce je | |
| kuma$2004260 Kuma 30/12 :: 21:14
Ours à pied Power-Membre (159)
| | Et sur mon corps ton corps étend La nappe de son miroir clair.
je tente une explication (elle vaut ce qu'elle vaut hein)
nappe : ton corps recouvre mon corps comme une nappe (jusque là ça va) miroir : ton corps recouvre mon corps et nous sommes face à face donc c'est comme de me voir dans un miroir puisque tu es mon âme sœur (vous suivez?) clair : ouais ben euh c'est de la poésie arrêtez de chercher un sens à chaque mot quoi !!
| | | Paix en Suisse ! |
| catamiaou$2004268 Catamiaou 30/12 :: 21:37
Inukshuk isn't it? Maître du flood (1338)
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Merci Kuma, maintenant nous sommes submergés par l'émotion ......... c'est merveilleux la force de suggestion des mots tout de même !
Maintenant il nous faut connaître le nom de ce grand poète car nous voulons recevoir toute sa "clarté" !!! | | | Au Zenith Du Zen A...Omh ! |
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